Pascaline Boyron a été accréditée en mai 2021 par l’Université Populaire de Permaculture pour son travail de recherche-action, pendant 7 ans, sur la thématique de la Permaculture Urbaine, et plus spécifiquement autour du projet les Unités de Production Fivoises.
Inscrites dans une dynamique collective forte (au sein du collectif Les Saprophytes) et dans un contexte urbain dense, ses recherches défendent, toujours dans l’action concrète, la résilience des territoires urbains.
Tout commence par le champignon, en s’inspirant de son fonctionnement en réseau. Puis ça prend forme, ça se construit autour d’un jardin, comme un prétexte à se réunir et à former une communauté agissante, au cœur d’un quartier populaire et dense.
Ici, nous rêvons collectivement d’une ville dédensifiée, apaisée, qui côtoie des formes d’agroforesterie urbaine, des fermes pédagogiques, multifonctionnelles, des voisins engagés permettant de s’organiser en petites communautés de quartier, des arbres fruitiers toujours plus nombreux, des sols restaurés…
La permaculture urbaine, où l’urgente mission de penser et construire dès aujourd’hui une nouvelle manière de faire et de vivre en ville.
Pour Pascaline la ville est une source inépuisable de rêves et de possibles… si nous accueillons le vivant, si nous nous organisons en petit réseau, à une échelle humaine, si nous créons et multiplions des îlots d’abondance, si nous rêvons et créons ensemble et sans cesse pour inspirer le voisin…
Ce travail de recherche continue, amorcé après un premier Cours Certifié de Permaculture en 2013, a été nourrit de plusieurs formations, avec Antoine Talin, puis Bernard Alonso, et bien sûr d’une expérience transformatrice concrète.
Antoine Talin a été le tuteur de ce parcours.
L’Université Populaire de Permaculture, et Permaculture Internationale sont partenaires.
La présentation publique s’est déroulée le 2 mai 2021, à l’Îlot des Combes, et retransmis sur le Campus des Alvéoles!
Mycorhisons nous!
Voyons le monde comme une archipel de bonne initiatives, d’alternatives résilientes. des initiatives qui se nourrissent les unes aux autres, se répendent, se connectent, rayonnent!
L’ensauvagement solidaire…
«laisser le vivant exprimer sa résilience propre. On met en place les conditions minimales, délicates, discrètes pour qu’il retrouve sa vitalité ». Baptiste Morizot
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